๑ ft. : Ben Barnes.
๑ Messages : 59
๑ Date d'inscription : 01/02/2020
| Leith Valdmaar☆ Personnel de l'école.
 Lun 3 Fév - 19:37 LEITH VALDMAAR tu es le risque que je veux prendreSurnomsAucun.Date de naissance31.01.1970NationalitéAustralien.SituationCélibataire.SangMêlé.Métier ou CursusSurveillant. Age30 ans.Lieu de naissanceSydney, Australie.OriginesAustralien du côté de son père, britannique du côté de sa mère.SexualitéHétérosexuel.BaguetteSorbier, Plume d'Oiseau Tonnerre, 29 cm.AvatarBen Barnes.Caractère ☆ la plupart du temps, on dira tout simplement de toi que t'es qu'un crétin. disons que, pour tout un tas de raisons, c'est une bonne façon de te résumer le plus simplement du monde. bien sûr, tu n'es pas que ça. c'est ce que tu montres. non. tu es aussi, probablement, le plus gros flemmard des environs. il ne faut pas se mentir, leith, si tu fais l'effort de travailler, c'est simplement parce que t'es obligé. tu pourrais te la couler douce à sydney dans ta chambre d'adolescent et profiter de la richesse de tes parents, mais tu as besoin de ta liberté de mouvement et surtout, tu as un mal fou à supporter leur façon de vivre et chaque jugement que ta mère se permet d'émettre que ce soit sur tes jeans, ou ta coiffure.
tu manges peu à certaines périodes, mais généralement, tu es plutôt gourmand. le problème étant que tu aimes la bonne nourriture bien cuisinée, mais que tu es totalement incapable de te faire à manger. tu as toujours été un bon sorcier. tu es doué en potions, surtout, et tu as toujours eu ce don bien particulier pour les sortilèges et le maniement de ta baguette en défense contre les forces du mal. tu supposes que ces matières vont ensemble et c'est d'ailleurs tes bons résultats dans ces domaines bien particuliers qui ont pencher en ta faveur lorsque tu as postuler à l'école pour devenir surveillant.
on ne peut pas vraiment dire que ton boulot t'enchantes. tu n'as pas le contact facile, surtout avec les élèves. vivre seul t'as visiblement forgé un caractère un peu particulier, avec une tendance à la solitude qui ressort assez facilement. tu peux paraître, d'extérieur, être un gars blasé, antipathique, bourru. un ours qu'on aurait tendance à laisser dans son coin. pourtant, tu sais, tu peux être sympa. vraiment sympa. il faut gratter ta carapace jusqu'à la percer pour prétendre te connaître, et non, ce n'est clairement pas chose aisée. à l'intérieur, il y a ce mec qui peut être doux, attentionné. le mec débrouillard. intelligent, aussi. le mec qui mine de rien sait faire plein de choses. un bon sorcier, avec de bonnes connaissances dans divers domaine. un sorcier doué de sa baguette, qui sait se battre si nécessaire, se défendre. au fond, t'es un mec bien, leith. le truc, c'est que t'as clairement toujours la flemme de le montrer.
⇝ tu parles peu. généralement, quand tu ouvres la bouche, c'est bref. pas de longue phrases, et encore moins de longs discours. ⇝ le jus de citrouille bien sucré, c'est la vie. ⇝ tu as été dégoutté des bonbons et autres sucreries à cause de l'odeur de la boutique au dessus de laquelle tu vies. ça t'as vacciné, visiblement, pourtant, tu t'en goinfrais quand tu étais étudiant. ⇝ jamais eu d'histoire sérieuse. a chaque fois le constat est le même : t'es pénible. ⇝ tu étais l'un des meilleurs du club de duels quand tu étais étudiant. ⇝ tu détestes l'odeur du poisson. pas de bol, nova, elle adore ça elle, le poisson. ⇝ tu as peu de contacts avec ta famille. tu trouves ta mère agaçante, et ton père particulièrement lourd. pourtant, tu les aimes de tout ton cœur. ⇝ tu as été traumatisé, enfant, par un ami de ton père. un loup-garou. il est apparu devant toi après avoir brisé les chaînes qui le retenait pour la nuit, c'est ton père qui t'as sauvé la vie, il t'aurais sans doute dévoré sinon. ⇝ tu as une dent contre la technologie moldue que tu peux côtoyer en ville. ou alors, c'est la technologie moldue qui a une dent contre toi, on ne sait pas trop. ⇝ tu as eu un mal de chien à apprendre à voler sur un balai. tes trois premières années en vol ont été catastrophiques. maintenant, tu gères. mais pas assez pour faire du quidditch, par exemple. le regret de ta vie.Histoire ☆ _ tu es donc né à Sydney, en Australie, dans la maison familiale appartenant à tes parents. ah. tes parents. parlons en, justement. ta mère est une moldue. ton père est un sorcier. un sorcier de sang-pur pour être plus précis. le moins que l'on puisse dire, c'est que tes parents, entre eux, ça a été le coup de foudre, et puis ensuite le grand amour. le vrai. l'amour solide et passionné, on vous passe les détails. lui, pourtant élevé dans la culture et la préservation de ce sang purement sorcier coulant dans ses veines, venait d'offrir son coeur à une moldue qui n'avait rien à voir avec son monde. pourtant, jamais il n'avait songé à rompre. a l'abandonner. non. au contraire. il provoqua les conflits dans sa famille. se brouilla à tout jamais avec ton père, son grand-père. et pourtant, il parvint à obtenir ce qu'il désirait. il conserva son statut, sa fortune, son nom. tout ça grâce à sa mère, surtout. il s’installa, avec ta mère, dans cette demeure qui appartenait à sa famille depuis des lustres. et puis, il l'épousa rapidement.
_ et oui. c'est là que tu débarques dans l'histoire. en bon emmerdeur que tu es, tu n'es pas arrivé si facilement qu'on pourrait le croire. non. tu t'es fais désiré. a tel point que ta mère s'est pensée stérile pendant plusieurs années. tu es le seul et unique enfant qu'elle ait réussi à avoir. un fils, pour le bonheur de ton père. évidemment, on l'aura compris, tu as été gâté. pourri, gâté. mais ça n'a pas fait de toi un crétin - bon un peu mais pas trop - au sens où on l'entends. tu n'as jamais été méprisant. tu ne t'es jamais pensé au dessus des autres. d'ailleurs, tu ne t'es jamais comporté comme le dessus du panier, et tu ne l'as même jamais été.
_ ta scolarité de sorcier, tu l'as suivie dans une école australienne. tu ne l'avoueras pas, mais même si ces années ont été les plus compliquées de ta vie, elles ont sans doute aussi été les plus belles. tu as appris énormément de choses durant ces années d'étude. l'école t'as modelé, elle a fait de toi ce que tu es devenu aujourd'hui - même si c'est loin d'être glorieux, tu estimes que c'est déjà pas mal. tu n'as jamais été le genre fils de riche qui montre et expose la fortune de sa famille. tu aurais pu. mais tu as rejeté les gamins de ce genre, tu t'es fondu dans la masse pour devenir un gosse banal, aussi banal qu'un sorcier puisse l'être. tu as même été moqué, souvent. persécuté, aussi. mais ce qui est bien avec toi, c'est que pour te faire perdre le moral ... il faut y aller très fort. tu t'es rarement démonté. tu as tout encaissé. ou alors tu as tout laissé glisser. peu importe. tu n'as jamais eu beaucoup d'amis. des connaissances, des contacts. des amitiés éphémères. mais de vrais amis ? tu n'en as eu que deux. il y avait ce garçon avec lequel tu avais passé pratiquement toutes tes années. même maison, même salle commune, même dortoir, mêmes cours. on pourrait appeler ça un meilleur ami. ta seule erreur avec lui avait été de tomber amoureux de ta seconde amie. cette fille et ses jolis cheveux roux. cette fille dont ton meilleur pote était, lui aussi, éperdument amoureux. ça avait durer des années comme ça. il ne savait rien de tes sentiments pour elle. elle n'en savait rien non plus. tu ignorais ses sentiments à lui. du coup, voyant la fin de vos études approcher, tu avais fini par te déclarer et ça avait mis le feu aux poudres. parce qu'il avait choisi de faire ça pratiquement en même temps que toi. elle, elle s'était retrouvée face à un choix. lui, il s'était retourné contre toi. d'ami, tu étais devenu son rival. il voulait la fille. c'est tout ce qu'il désirait. et ... comme on peut l'imaginer, il a eu la fille. il l'a même épousée. et quelques semaines plus tard, tu as appris qu'elle était enceinte. ils ont rompu le contact avec toi. tu t'es replié. tu t'es installé tout seul. tu as décidé de faire cavalier seul, pour ainsi dire.
_ le problème, c'est que ça ne pouvait pas durer. tu as passé des années à te morfondre. a survivre plutôt que vivre et il a fallu que ta mère te pousse aux fesses pour que tu daignes te bouger. le truc, c'est que t'as pas fais les choses à moitié. tu t'es mis à voyager. et puis, tu as posé tes valises en angleterre. ton boulot ? c'est un coup de chance. tu as postulé sans grande conviction. tu as été pris. l'histoire s'arrête ici, au plutôt, au moment où tu as pris cet appartement, au dessus de la confiserie du vieux bonhomme.Ka' ☆Toujours pas la capacité émotionnelle d'une petite cuillère OKAY ? |
